jeudi 30 octobre 2008
lundi 20 octobre 2008
«Partout et toujours, cherche sans te lasser le remède qui soulage, sème l'espoir : ça vivifie et ton amour peut faire des miracles.»
[ Soeur Emmanuelle ]
«On ne possède pas le bonheur comme une acquisition définitive. Il s'agit à chaque instant de faire jaillir une étincelle de joie. Ne l'oublions pas : "Souris au monde et le monde te sourira."»
[ Soeur Emmanuelle ]
dimanche 19 octobre 2008
vendredi 17 octobre 2008
Te rappelles-tu «Dans le bon vieux temps»?
C’était avant l’Internet, avant les PC, le Mac, et avant le Super Nintendo…
Avant le techno et les sorties dans les bars…!
Je parle des bouquets de pissenlits, du bonhomme Sept-Heures et tout ce quon pouvait croire à son sujet si nous n'étions pas couchés à 7h00!
Je parle du magasin du coin, dans le temps où un chewing-gum coûtait une peseta. Du ballon-chasseur dans la cours d’école, des cerceaux, des lèvres de cire rouges, d’un million de piqûres de maringouins après une soirée passée à courir dans les champs.. : ) Des mitaines mouillées, des combats d’oreillers, de Superman, le roi des bananes, des pupitres que nous devions laver à la fin de l’année, de la voix de ta mère lorsque ton oreille était contre sa poitrine, des effluves de parfums à travers les manteaux des « Matantes » en visite!
Je parle de quand « prendre de la drogue » voulait dire croquer une aspirine rose, de quand nous faisions semblant de fumer avec nos cigarettes Popeye : ) De quand le coin de la rue semblait loin et le centre de la ville semblait le bout du monde..!
Je parle de quand les filles n’embrassaient pas * avant la fin du secondaire *, de quand n’importe quelle scène d’amour, c’était arkkk! . De quand un parent pouvait discipliner n’importe quel enfant, et lui demander de porter les sacs d’épicerie qui, pour l'enfant, étaient un amusement à défaire!
Je parle de quand on se baignait assez longtemps pour avoir les doigts plissés et les lèvres totalement bleues, de quand les décisions étaient prises en faisant «La p’tite vache a mal aux pattes.. tirons-la par la queue» De quand la pire chose que l’on pouvait attraper du sexe opposé était la picotte, de quand se faire prendre avec une arme voulait dire.. se faire prendre avec un tire-pois…
Jouer à la cachette au crépuscule les soirs d’été.. d’acheter des bonbons avec des bouteilles vides, de veiller sur le balcon en pyjama après avoir pris notre bain, de courir à travers l’arrosoir même si l’eau était glacée.. de construire des forts dans des bancs de neige, de marcher jusqu'à l’école quelle que soit la température, de sauter sur le lit et de tourner sur soi-même jusqu'à devenir étourdi.. : ) De manger de la poudre de Kool-Aid dans des pailles en papier et d’avoir la langue verte…
C’était quand la pire humiliation était d’être choisi (e) le dernier dans une équipe à l’école, quand les balounes d’eau signifiaient « armes ultimes », quand les cartes de joueurs de hockey étaient un outil d’échange redoutable, quand les catalogues Sears faisaient offices de magasins, quand les éraflures étaient guéries par un « becquer bobo » …
Si tu peux te rappeler de tout ça, c’est que tu es probablement d’accord pour dire qu’on a eu du beau temps… lorsque nous étions enfants!
Passe cela à tous ceux qui ont besoin de s’échapper un peu de leur vie « d’adultes »
Du site Chez Maya
mercredi 15 octobre 2008
Petite blague informatique
Client. Je ne trouve plus l'endroit ou j'ai installé votre produit.
Hotline. Double-cliquez sur le Poste de Travail, s'il vous plaît.
Client. C'est où, ça ?
Hotline. A l'écran, avez-vous une icône "Poste de Travail" ?
Client. Je ne comprends rien du tout, pourquoi me parlez-vous de poste de travail ?
Hotline. Vous n'avez pas de poste de travail ?
Client. Non monsieur ! Je suis retraité, moi ...
mardi 14 octobre 2008
jeudi 9 octobre 2008
Le Clézio
L'écrivain français Jean-Marie Gustave Le Clézio a reçu jeudi la consécration du Nobel de littérature pour une oeuvre dominée par les thèmes du voyage, de l'exil et de la nostalgie des mondes primitifs.
L'Académie suédoise" a expliqué dans ses attendus avoir récompensé avec Le Clézio "l'écrivain de la rupture, de l'aventure poétique et de l'extase sensuelle, l'explorateur d'une humanité au-delà et en-dessous de la civilisation régnante".
Le Clézio, 68 ans, était considéré depuis des années comme un lauréat potentiel et son nom circulait avec insistance cette fois-ci dans les cercles littéraires suédois.
L'Académie suédoise n'a pas donné d'autres raisons à son choix mais il est évident que l'auteur de "Désert" avait de nombreux appuis parmi des académiciens sensibles à son idéalisme et ses critiques de la civilisation matérialiste.
Connu en Suède où plusieurs de ses romans sont traduits, J.M.G. Le Clézio avait reçu en juin dernier le prix littéraire suédois Stig Dagerman qui lui sera remis le 25 octobre à Stockholm. Le romancier refera le voyage le 10 décembre pour venir chercher son Nobel.
"Je suis très ému et très touché", a-t-il dit dans une interview en français à la radio publique suédoise. "C'est un grand honneur pour moi", a-t-il ajouté.
Les derniers lauréats français sont l'écrivain d'origine chinoise Gao Xingjian en 2000 et Claude Simon, grande figure du Nouveau roman, en 1985.
http://afp.google.com/article/ALeqM5ia0XByNsMlXnDtpxDnH7CtHN3JTgdimanche 5 octobre 2008
Mots des petits.
Le petit garçon lui répond : Impossible, chez nous on se marie dans la famille. Mon père a épousé ma mère, mon grand-père a épousé ma grand-mère, etc.
Pourquoi se lancent-ils tous sur la rondelle, papa?
C'est simple, lui répond-il. L'équipe qui marquera le plus de buts ce soir sera la gagnante de la coupe Stanley.
Et les autres? demande-t-elle perplexe.
Eux non, bien sûr, ils seront les perdants.
Alors, pourquoi se lancent-ils eux aussi sur la rondelle?
Il va falloir que j'aille le changer ! Le petit frère, entendant cela, s'adresse alors à la maman : Ho! Oui, change-le et prends en un autre qui pleure moins !
Sa maman répond :-C'est parce que papa m'a donné un petit bébé.
- Oui, lui répond tendrement son papa.
- Hé bien ! Elle l'a mangé !
Sa maman lui demande '' Où as-tu mal ?"
Elle répond : "Aux pantalons ".
Soudain, les enfants arrivent en courant, en criant : Maman, maman, les vaches sont à vendre !
Comment ça, elles sont à vendre ? Oui, s'exclament alors les enfants, elles ont une étiquette sur l'oreille !
- Je ne peux pas, répond l'enfant, ce sont les seuls pieds que j'ai !
"Pourquoi tu fais ça, maman ?"
" Pour être plus belle, mon chéri. "
En voyant sa mère enlever la crème, il lui dit " Et... maintenant, tu abandonnes ?"
Noémie demande pourquoi ?
Sa maman lui répond parce qu'ils ne s'entendaient plus.
Alors, elle répond: Ils n'ont qu'à parler plus fort !